Paroles d'INTP

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Quelques INTP dans le texte - en commençant par des citations du maître sans qui ce site n'existerait pas...

 

 Carl Gustav JUNG

Les premiers paragraphes sont tirés de Ma vie, autobiographie de Jung, rédigée au soir de sa vie (© Editions Gallimard 1966).

Auprès des évènements intérieurs, les autres souvenirs palissent, voyages, relations humaines, milieu. [...] Le souvenir des faits extérieurs de ma vie s'est, pour la plus grande part, estompé dans mon esprit ou a disparu. Mais les rencontres avec l'autre réalité, les collisions avec l'inconscient, se sont imprégnées de façon indélébile dans ma mémoire. Il y avait toujours là abondance et richesse. Tout le reste passe à l'arrière-plan. [...] Même ce qui, dans ma jeunesse ou plus tard, vint à moi de l'extérieur et prit de l'importance était placé sous le signe du vécu intérieur. Très tôt, j'en suis venu à penser que si aucune réponse ni aucune solution à des complications de la vie ne vient de l'intérieur, c'est que finalement l'épisode correspondant est de peu d'importance. Les circonstances extérieures ne peuvent remplacer les expériences intérieures. Je n'en parlerai guère car cela me paraîtrait vide et sans poids. Je ne puis me comprendre que par les aventures intérieures.

(à propos de Freud) L'idée qu'il me faudrait prendre pour ainsi dire la direction d'un parti, à l'encontre de ma conviction intime, m'était, pour bien des raisons, désagréable. Un tel rôle ne me convenait pas. Je ne pouvais sacrifier mon indépendance d'esprit, et la perspective de ce prestige accru me contrariait parce qu'il ne signifiait pour moi rien d'autre qu'un éloignement de mes véritables objectifs. Seul m'importait la recherche de la vérité et nullement la question du prestige personnel.

Cette phrase [...] préfigurait déjà pour moi la fin imminente de nos relations. Freud plaçait l'autorité personnelle au dessus de la vérité.

Lorsque [Freud] manifesta l'intention d'identifier théorie et méthode et d'en faire des dogmes, il me fut impossible de continuer ma collaboration. Il ne me resta rien d'autre à faire qu'à me retirer.

Lors de mon travail sur les Métamorphoses et symboles de la libido, vers la fin, je savais par avance que le chapitre sur « Le Sacrifice » me coûterait l'amitié de Freud. [...] Deux mois durant, il me fut impossible d'écrire tant ce conflit me tourmentait. Dois-je faire taire ma façon de penser ou faut-il que je mette notre amitié en péril ? Finalement je pris la décision d'écrire ; cela me coûta l'amitié de Freud.

Par contre, [en Inde] j'ai évité toute rencontre avec les « saints personnages ». Je les ai évités parce que je devais me contenter de ma propre vérité et ne devais rien accepter en dehors de ce que je pouvais atteindre par moi-même. J'aurais eu l'impression de commettre un vol si j'avais tenté d'être instruit par les « saints » et d'accepter, pour moi, leur vérité. Leur sagesse est à eux, et à moi n'appartient que ce qui provient de moi-même. [...] Il me faut vivre par moi-même, par ce que dit mon être intérieur, ou par ce que la nature m'apporte.

Dès mon réveil, je me mis à penser à mon étude en cours [...] et j'éprouvais de tels sentiments d'infériorité à propos de la question à laquelle je n'avais pu répondre que je pris immédiatement le train pour rentrer et me remettre au travail. Il m'eut été impossible de continuer mon voyage à bicyclette et de sacrifier ainsi trois jours encore. Il me fallait travailler et trouver la réponse.

Dans mon cas c'est une aspiration passionnée à comprendre qui, en première ligne, a dû susciter ma naissance. C'est là, en effet, l'élément le plus puissant de mon être.

J'ai heurté beaucoup de gens ; car dès que je sentais qu'ils ne me comprenaient pas, ils avaient perdu tout intérêt pour moi. Je devais continuer. Mes malades mis à part, je n'avais pas de patience avec les hommes. Il me fallait toujours suivre la loi intérieure qui m'était imposée et qui ne me laissait pas la liberté du choix. Certes, je ne m'y pliais pas toujours. Comment pourrait-on « s'en tirer » sans inconséquences ? Pour certains êtres, j'étais immédiatement présent, dans la mesure où ils avaient un contact avec le monde intérieur ; mais brusquement il pouvait se faire que je ne fusse plus là, parce qu'il n'y avait plus rien qui me rattachât à eux. J'ai dû apprendre péniblement que les êtres étaient encore là, même quand ils n'avaient plus rien à me dire. Beaucoup éveillèrent en moi le sentiment d'une humanité vivante, mais seulement si celle-ci était visible dans le cercle magique de la psychologie ; à l'instant suivant, le projecteur dirigeant ailleurs ses rayons, il ne restait plus rien. J'étais capable de m'intéresser intensément à certains êtres, mais dès qu'ils devenaient translucides pour moi, le charme était rompu. De la sorte, je me suis fait beaucoup d'ennemis. Mais comme personnalité créatrice, on est livré, on n'est pas libre, on est enchaîné et poussé par le démon intérieur. [...] Le manque de liberté me remplissait de détresse. [...] Oui, je suis moi-même victime, je ne peux pas rester. Mais [...) l'on parvient à s'en tirer et l'inconséquence bénie fait que, en opposition flagrante à mon « infidélité », je reste fidèle à un degré insoupçonné. Peut-être pourrais-je dire : plus que d'autres, j'ai besoin des hommes, et, en même temps, bien moins.

Le démon intérieur et l'élément créateur se sont imposés en moi de façon absolue et brutale. Les actions courantes que je projetais passaient la plupart du temps à l'arrière-plan, mais pas même toujours ni partout. [...] Je suis content que ma vie ait pris ce cours. [...] Je regrette beaucoup de bêtises, nées de mon entêtement, mais, si je ne l'avais pas eu, je ne serais pas arrivé à mon but. De sorte qu'à la fois, je suis déçu et ne suis pas déçu. Je suis déçu des hommes et suis déçu par moi. Au contact des hommes, j'ai vécu des choses merveilleuses et j'ai moi-même oeuvré plus que je l'attendais de moi. [...] Plus je suis devenu vieux, moins je me compris et moins je me reconnus, et moins je sus de moi.

Je suis étonné de moi-même, déçu, réjoui. Je suis attristé, accablé, enthousiaste. Je suis tout cela et ne parviens pas à en faire la somme. Je suis hors d'état de constater une valeur ou une non-valeur définitives ; je n'ai pas de jugement sur moi ou sur ma vie. Je ne suis tout à fait sûr de rien. Je n'ai à proprement parler aucune conclusion définitive - à aucun sujet. [...] Plus je suis devenu incertain au sujet de moi-même, plus a crû en moi un sentiment de parenté avec les choses.

Apprenez vos théories aussi bien que vous le pouvez, puis mettez-les de côté quand vous entrez en contact avec le vivant miracle de l'âme humaine.

L'homme mérite qu'il se soucie de lui-même car il porte dans son âme les germes de son devenir.

Il est bien difficile d'être simple.

La chose la plus terrifiante, c'est de s'accepter soi-même.

Qui regarde dehors rêve. Qui regarde à l'intérieur se réveille.

Je suis schizophrène, et moi aussi.

La psychanalyse s'arrête quand le patient est ruiné.

 

 Albert EINSTEIN

Saisir que derrière chaque expérience de la vie, il y a quelque chose qui échappe à notre entendement, dont la beauté et le sublime ne nous atteignent qu’indirectement [….] Pour moi, il suffit de s’émerveiller devant ces secrets et de tenter humblement de saisir par l’esprit ne serait-ce qu’une image de la structure grandiose de ce qui est. (Mon Crédo)

Je veux connaître les pensées de Dieu ; tout le reste n'est que détail.

Je n'ai pas de talents particuliers. Je suis juste passionnément curieux.

Tout devrait être rendu aussi simple que possible, mais pas plus.

Le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et a oublié le don.

La seule chose réelle précieuse est l’intuition.

L'homme solitaire pense seul et crée des nouvelles valeurs pour la communauté.

La personnalité créatrice doit penser et juger par elle-même car le progrès moral de la société dépend exclusivement de son indépendance.

Mais c'est la personne humaine, libre, créatrice et sensible qui façonne le beau et le sublime, alors que les masses restent entraînées dans une ronde infernale d'imbécillité et d'abrutissement. (Comment je vois le monde)

A force de lire des ouvrages de vulgarisation scientifique, j'ai bientôt eu la conviction que beaucoup d'histoires de la Bible ne pouvaient pas être vraies. La conséquence a été une véritable orgie fanatique de libre pensée accompagnée de l'impression que l'État trompe intentionnellement la jeunesse par des mensonges. C'était une impression écrasante. Cette expérience m'a amené à me méfier de toutes sortes d'autorité, à considérer avec scepticisme les convictions entretenues dans tout milieu social spécifique : une attitude qui ne m'a jamais quitté, même si par la suite, parce que j'ai mieux compris les mécanismes, elle a perdu de son ancienne violence.

Ce que vous avez lu sur mes convictions religieuses était un mensonge, bien sûr, un mensonge qui est répété systématiquement. Je ne crois pas en un Dieu personnel et je n’ai jamais dit le contraire de cela, je l’ai plutôt exprimé clairement. S’il y a quelque chose en moi que l’on puisse appeler "religieux" ce serait alors mon admiration sans bornes pour les structures de l’univers pour autant que notre science puisse le révéler.

J'aime penser que la lune est là même si je ne la regarde pas.

N'essayez pas de devenir un homme qui a du succès. Essayez de devenir un homme qui a de la valeur.

Peu d'êtres sont capables d'exprimer posément une opinion différente des préjugés de leur milieu. La plupart des êtres sont mêmes incapables d'arriver à formuler de telles opinions.

La joie de contempler et de comprendre, voilà le langage que me porte la nature. (Comment je vois le monde)

L'effort vers la connaissance représente un de ces buts indépendants, sans lesquels, pour moi, une affirmation consciente de la vie n'existe pas pour l'homme qui déclare penser. (Comment je vois le monde)

Quiconque prétend s'ériger en juge de la vérité et du savoir s'expose à périr sous les éclats de rire des dieux puisque nous ignorons comment sont réellement les choses et que nous n'en connaissons que la représentation que nous en faisons.

C'est le devoir de chaque homme de rendre au monde au moins autant qu'il en a reçu.

Je suis satisfait de ma vie ces dernières années. J'ai gardé ma bonne humeur et je ne prends ni moi-même ni les autres au sérieux. (Pensées intimes)

Rien n'est plus proche du vrai que le faux.

Si vous ne pouvez expliquer un concept à un enfant de six ans, c'est que vous ne le comprenez pas complètement.

La plus belle chose que nous puissions éprouver, c'est le côté mystérieux de la vie.

Ne fais jamais rien contre ta conscience, même si l'État te le demande.

L'Etat est notre serviteur et nous n'avons pas à en être les esclaves.

Un problème sans solution est un problème mal posé.

Inventer, c'est penser à côté.

L'imagination est plus importante que le savoir.

C'est le rôle essentiel du professeur d'éveiller la joie de travailler et de connaître.

Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.

Pour être un membre irréprochable parmi une communauté de moutons, il faut avant toute chose être soi-même un mouton.

Ce qui est incompréhensible, c'est que le monde soit compréhensible.

En apparence, la vie n'a aucun sens, et pourtant, il est impossible qu'il n'y en ait pas un !

Il est plus difficile de désagréger un préjugé qu'un atome.

Une personne qui n'a jamais commis d'erreurs n'a jamais tenté d'innover.

Les amères leçons du passé doivent être réapprises sans cesse.

L'homme et sa sécurité doivent constituer la première préoccupation de toute aventure technologique.

Le mot progrès n'aura aucun sens tant qu'il y aura des enfants malheureux.

La seule chose absolue dans un monde comme le nôtre, c'est l'humour.

Je sais pourquoi tant de gens aiment couper du bois. C'est une activité où l'on voit tout de suite le résultat.

Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité.

La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !

La science est une chose merveilleuse... tant qu'il ne faut pas en vivre !

Avec la gloire, je deviens de plus en plus stupide, ce qui, je le reconnais, est un phénomène très courant.

Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue.

J'ignore la nature des armes qu'on utilisera pour la prochaine guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres.

Si un homme peut éprouver quelque plaisir à défiler en rang et aux sons d'une musique, je méprise cet homme... Il ne mérite pas un cerveau humain puisqu'une moelle épinière le satisfait. (Comment je vois le monde)

Définissez-moi d'abord ce que vous entendez par Dieu et je vous dirai si j'y crois.

Je n'ai pas échoué, j'ai trouvé dix mille moyens qui ne fonctionnent pas.

Si les faits ne correspondent pas à la théorie, changez les faits.

Nous aurons le destin que nous aurons mérité. (Comment je vois le monde)

 

 Marie CURIE

Dans la vie, rien n'est à craindre, tout est à comprendre.

 

 Martin HEIDEGGER

Seuls les commencements sont beaux.

 

 Henri POINCARÉ

C'est avec la logique que nous prouvons et avec l'intuition que nous trouvons.

Douter de tout ou tout croire sont deux solutions également commodes, qui l'une et l'autre nous dispensent de réfléchir. (La science et l’hypothèse)

 

 Friedrich NIETZSCHE

Ce n'est pas le doute qui rend fou: c'est la certitude.

Veux-tu avoir la vie facile ? Reste toujours près du troupeau, et oublie-toi en lui.

La croyance que rien ne change provient soit d'une mauvaise vue, soit d'une mauvaise foi. La première se corrige, la seconde se combat.

Parmi toutes les variétés de l'intelligence découvertes jusqu'à présent, l'instinct est, de toutes, la plus intelligente.

A lutter avec les mêmes armes que ton ennemi, tu deviendras comme lui.

Deviens qui tu es! Fais ce que toi seul peut faire.

Ennemis de la vérité: Les convictions sont des ennemis de la vérité plus dangereux que les mensonges.

Chaque homme cache en lui un enfant qui veut jouer.

Méfiez-vous de tous ceux en qui l'instinct de punir est puissant.

Vivre de telle sorte qu'il te faille désirer revivre, c'est là ton devoir.

Je suis trop fier pour croire qu'un homme m'aime. Cela supposerait qu'il sache qui je suis.

La sottise chez les femmes, c'est ce qu'il y a de moins féminin.

L'homme souffre si profondément qu'il a dû inventer le rire.

Je ne pourrais croire qu'en un Dieu qui saurait danser.

 

 René DESCARTES

La raison est la seule chose qui nous rend hommes.

Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans la vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissance.

Pour examiner la vérité, il est besoin, une fois dans sa vie, de mettre toutes choses en doute autant qu'il se peut.

Je prends beaucoup plus de plaisir à m'instruire moi-même que non pas à mettre par écrit le peu que je sais.

Il y a beaucoup plus de sûreté et plus d'honneur en la résistance qu'en la fuite.

Le bon sens est la chose au monde la mieux partagée : car chacun pense en être bien pourvu.

Je pense, donc je suis.

 

 Blaise PASCAL

Deux excès: exclure la raison, n'admettre que la raison.

Il n'est pas certain que tout soit certain.

 

 Baruch SPINOZA

Ne pas railler, ne pas déplorer, ne pas maudire, mais comprendre.

La satisfaction intérieure est en vérité ce que nous pouvons espérer de plus grand.

Si vous voulez que la vie vous sourie, apportez-lui d'abord votre bonne humeur.

 

 SOCRATE

Connais-toi toi-même.

Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien.

Une vie sans examen ne vaut pas la peine d'être vécue.

La sagesse commence dans l'émerveillement.

Vous pouvez cacher aux autres une action répréhensible, mais jamais à vous-même.

Les gens qu'on interroge, pourvu qu'on les interroge bien, trouvent d'eux-mêmes les bonnes réponses.

Que voulez-vous que je lui apprenne ? Il ne m'aime pas.

Mieux vaut encore subir l'injure que la commettre.

Nos jeunes aiment le luxe, ont de mauvaises manières, se moquent de l'autorité et n'ont aucun respect pour l'âge. À notre époque, les enfants sont des tyrans.

Ceux qui désirent le moins de choses sont les plus près des dieux.

Ce que tu veux me dire, est-ce vrai? Est-ce bien? Est-ce utile? Sinon je ne veux pas l'entendre.

On compte plus facilement ses moutons que ses amis.

Le bonheur c'est le plaisir sans remords.

Réfléchis avec lenteur, mais exécute rapidement tes décisions.

Si un âne te donne un coup de pied, ne lui rends pas.

Je ne suis ni Athénien, ni Grec, mais un citoyen du monde.

Dans tous les cas, mariez-vous. Si vous tombez sur une bonne épouse, vous serez heureux ; et si vous tombez sur une mauvaise, vous deviendrez philosophe, ce qui est excellent pour l'homme.

 

 Abraham LINCOLN

Que l'on me donne six heures pour couper un arbre, j'en passerai quatre à préparer ma hâche.

Dieu doit aimer les pauvres, autrement il n'en aurait pas créé autant.

 

 Honoré de BALZAC

En amour comme à la chasse, le vrai plaisir est de braconner.

Il faut battre son frère quand il est chaud !

L'abbé ne fait pas le moine.

Il ne faut pas courir deux lèvres à la fois.

 

 Woody ALLEN

C'est dur de faire un film, mais travailler pour de bon, c'est pire!

Ce n'est pas que j'ai peur de mourir, je veux juste ne pas être là quand ça arrivera.

Chez nous c'est moi le patron, ma femme est seulement celle qui prend les décisions.

Chez nous, on mangeait à la carte: celui qui tirait l'as de pique mangeait.

L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est totalement impossible.

L'éternité, c'est long, surtout vers la fin.

La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible.

Je portais une balle de révolver dans la poche, quelqu'un m'a lancé une bible. La balle m'a sauvé la vie.

Mes films sont une forme de psychanalyse, sauf que c'est moi qui suis payé, ce qui change tout !

Je suis si intelligent que mon cerveau est mon deuxième organe favori.

Je tiens beaucoup à ma montre, c'est mon grand-père qui me l'a vendue sur son lit de mort.

Quand j'ai été kidnappé, mes parents ont tout de suite agi : ils ont loué ma chambre.

L'argent est préférable à la pauvreté, ne serait-ce que pour des raisons financières.

Quand j'écoute trop Wagner, j'ai envie d'envahir la Pologne.

Et Abraham tomba à genoux :[...] Mais cela ne prouve-t-il pas que je t'aime ? J'étais prêt à tuer mon fils unique pour Te montrer mon amour... Et le Seigneur parla, en sa grande sagesse : - Ça ne prouve qu'une chose : que des crétins suivront toujours les ordres, si imbéciles soient-ils, pour peu qu'ils soient formulés par une voix autoritaire, retentissante et bien modulée !

Je préfère l'incinération à l'enterrement et les deux à un week-end avec ma femme.

Un mélomane est un monsieur qui, lorsqu'il entend Ornella Mutti chanter dans sa salle de bains, s'approche du trou de la serrure... pour y coller l'oreille...

La célébrité m'a apporté un gros avantage : les femmes qui me disent non sont plus belles qu'autrefois.

Une auto-stoppeuse est une jeune femme, généralement jolie et court vêtue, qui se trouve sur votre route quand vous êtes avec votre femme.

Pour ma part, je suis hétérosexuel. Mais il faut le reconnaître, le bisexuel a deux fois plus de chances le samedi soir.

Le sexe entre deux personnes, c'est beau. Entre cinq personnes, c'est fantastique...

Ses baisers laissaient à désirer... son corps tout entier.

Je vais vous raconter une histoire terrible sur la contraception orale. J'ai demandé à cette fille de coucher avec moi, et elle m'a dit non.

La différence entre la mort et le sexe c'est que vous pouvez mourir seul et que personne ne se moquera de vous.

Est-ce que le sexe est sale?... - Seulement quand il est bien fait.

Faire l'amour, c'est comme jouer au bridge. Si tu n'as pas une bonne partenaire, tu as besoin d'avoir une sacrée bonne main !

 

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